Lambert est un abbé défroqué. Il se fait connaître comme sourcier et publie même un livre sur le sujet. On le fait venir au début des années 30 à Oran pour trouver de l'eau douce.
Une journée dans la vie d'un bourg de Kabylie. Une journée ordinaire parmi d'autres, sauf que, sur la montagne d'en face, un feu s'est déclaré.
29 juin 1996.
Quatre ans après l'assassinat du président algérien Mohamed Boudiaf, Hocine déambule dans les rues de Cyrtha, une ville qui emprunte ses traits à Constantine ou Alger, et, plus loin dans le temps, à Cirta, l'antique, la numide.
Alger, 1956. Fernand Iveton- ouvrier communiste anticolonialiste rallié au FLN- a trente ans quand il pose une bombe dans son usine à Belcourt.
Le 10 octobre 1980, un séisme secoue Alger. L’auteur a treize ans. Cette journée chaotique, ce sentiment inoubliable et traumatisant de la terre qui se dérobe, de la nature qui se dresse contre l’humain, sont le point de départ de ce récit.
La nuit descend sur Vienne et sur l’appartement où Franz Ritter, musicologue épris d’Orient, cherche en vain le sommeil, dérivant entre songes et souvenirs, mélancolie et fièvre, revisitant sa vie, ses rencontres et ses nombreux séjours loin de l’Autriche – Istanbul, Alep, Damas, Palmyre, Téhéran…
Pour lui, aucune rédemption n’est possible. Alors, il cède peu à peu à la violence. seule Douce — une jeune femme officiant dans un hammam et lui prodiguant soins et amour — semble trouver grâce aux yeux de cet homme abîmé qui ne croit plus en rien, ni en ses proches ni même à la mission qu'on lui a confiée.
Partie d'Alger à 25 ans, la narratrice est désormais une parisienne rompue au charme comme à la froideur de la capitale française, une habituée des allers-retours entre les deux villes pour assister aux fiançailles de sa petite soeur.
Sur fond de tourmente algérienne, les errances d’un homme. Fils, époux, amant, père, il assume ces rôles avec plus ou moins de bonheur et de courage. La mer est son refuge, il rêve d’îles et de fées.
Hizya a vingt-trois ans, elle vit à la Casbah, travaille dans un salon de coiffure depuis peu, n’a jamais connu l’amour et a un projet fou : vivre une aventure, mieux, une passion, comme l’héroïne éponyme du poème de Mohamed Ben Guittoun.