Alger, fin des années 1970. Alya, une jeune fille – à la lisière de l’adolescence – raconte sa ville, sa famille, ses joies, ses frayeurs, l’éveil des sens.
«Les odeurs pestilentielles des cadavres floches. Troués de balles. Avec des visages portant toujours cette expression d’étonnement (pourquoi, moi ?).
Zarta ! ou le récit foisonnant des aventures de Z. b, vedette de la presse Algérienne, figure à la fois maudite et adulée. Avec ce premier roman, édité en 2000, l’auteur signait un texte satirique, irrévérencieux et jubilatoire.
Algérie, printemps 1957. La guerre fait rage, c’est la « bataille d’Alger ».
La capitaine Degorce (ancien résistant déporté à Buchenwald) retrouve le lieutenant Andreani avec lequel il a affronté l’horreur des combats en Indochine.
Plus de cinquante ans après sa parution, voici enfin réunie pour la première fois en un seul volume et dans une édition Algérienne, la Trilogie Algérie de Mohammed Dib.
Qui est Maïssa Bey ? En guise de réponse, cet autoportrait magnifique, L’une et l’autre, qui se conclut par une évidence : femme ; Algérienne et lectrice, elle est aussi, et magistralement, écrivain.
Aïda, quarante-huit ans, divorcée, est maintenant orpheline de son fils : Nadir a été assassiné un soir qu’il rentrait chez lui. Confrontée à l’insupportable, elle mène son enquête et pour ne pas perdre la raison, elle lui écrit chaque jour dans des cahiers d’écolier.
Deux hommes se retrouvent côte à côte dans le vol Alger-Constantine. Rachid et Omar sont unis par les liens du sang, par l’expérience traumatisante de la guerre d’Algérie, mais aussi par le souvenir d’un été torride de leur adolescence, épisode dont jamais ils n’ont reparlé mais qui symbolise la jeunesse perdue de leur patrie.
Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements », en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France.
Cet ouvrage réunit trois romans écrits par Abdelkader Djemaï entre 2002 et 2004. ils n’avaient, jusque là, jamais été publiés en Algérie. (...) ainsi, Gare du Nord décrit la vie modeste de trois vieux travailleurs Algériens à la retraite, dans un foyer près de la gare.