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  • Son oeil dans ma main

    1961

    Raymond Depardon, à peine 19 ans, est envoyé comme reporter photographe en Algérie. Là, il capte la fin du temps colonial, tandis que, pendant les accords d'Evian, côtoyant la délégation algérienne, il en saisit l'intimité avec une rare délicatesse.

  • Oran: ville et architecture 1790-1960

    Tlemcen ou les lieux de l'écriture. Photographies de 1946- Texte de 1993

    Ce livre est une nouvelle version du projet Tlemcen ou les lieux de l'écriture édité en 1994 par les éditions La Revue Noir (Paris).

  • Fernand Pouillon et l'Algérie -Bâtir à hauteur d'hommes

    Ce livre présente les photographies de Daphné Bengoa et Leo Fabrizio, fruit d'un projet mené en commun sur l'œuvre algérienne de l'architecte français Fernand Pouillon (1912-1986).

  • 1990_1995 Algérie, chronique photographique

    De 1989 à 1995, Ammar Bouras travaille comme reporter photographe au journal Alger républicain en même temps qu'il étudie aux Beaux-Arts.

  • Gazelle et compagnie

    Tout le monde s'affaire et s'enthousiasme : on s'aprête à accueillir les cigognes voyageuses. Il faut vite préparer leur arrivée.

  • Voyage en Algérie antique

    Après avoir sillonné les rives de la Méditerranée et découvert les plus belles ruines antiques, l’immense photographe Ferrante Ferranti a pris la mesure d’un patrimoine antique Algérien aussi exceptionnel que méconnu.

  • Alger sous le ciel

    En 2006, l’architecte algérois Halim Faïdi a la possibilité de survoler Alger pour la photographier. L’opportunité est unique.

  • Algérie, année 0 ou quand commence la mémoire

    La série de dessins qui est montrée dans ce livre est une manière de prendre conscience de mon histoire propre, de notre histoire.

  • Une nation en exil

    « Mais alors comment Rachid Koraïchi s’y est-il pris pour créer à partir des poèmes de Darwich ? tout simplement en ne s’y prenant pas », mais en empruntant le chemin de l’amitié, car Mahmoud Darwich, si méfiant pour sa langue, toujours aux aguets, ouvrait grandes ses portes à ceux qu’il considérait comme ses véritables amis, qui loin de vouloir se l’approprier, user et s’installer dans son œuvre, y voyaient la belle possibilité de résonnances, d’échos se répercutant dans ses propres vallées.

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