L'année 1962 est à la fois la fin de la guerre et la dificile transition vers la paix. Concluant la longue colonisation française marquée par une combinaison rare de violence et d'acculturation, elle voit l'émergence d'un État algérien d'abord soucieux d'assurer sa propre stabilité et la survie de sa population.
L'Algérie, après sa politique de la clémence (1995) et sa concorde civile (1999), a mis en oeuvre, à la suite d'un référendum (2005), les mesures de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale; politique ultime, à ce jour, pour solder les comptes d'une décennie meurtrière.
Cet ouvrage est le fruit d'un programme que Nadia Tazi a dirigé au Collège international de philosophie à Paris.
La présence de mouvements islamistes sur la scène internationale a mis au jour une question nodale dans le monde musulman : celle du rôle de la virilité.
Ce livre retrace le parcours d'un Juste : Jules Molina, dit "Julot", militant d'Algérie, habité très tôt par ses conviction, marginalisé par l'Histoire.
Au départ, alors que le Hirak battait son plein et que les rêves semblaient accessibles, l'idée consistait à amener des jeunes à rêver l'Algérie dans le cadre des cycles d'ateliers d'écriture organisés par la Fondation Ebert.
Halim Bensadek, un journaliste, décide à quarante ans, par suite d'une déception amoureuse, de se jeter du haut d'un immeuble de quinze étages, dans la banlieue d'Alger.
Ce livre présente les photographies de Daphné Bengoa et Leo Fabrizio, fruit d'un projet mené en commun sur l'œuvre algérienne de l'architecte français Fernand Pouillon (1912-1986).
Ce livre est une nouvelle version du projet Tlemcen ou les lieux de l'écriture édité en 1994 par les éditions La Revue Noir (Paris).
Nour, 23 ans, étudiant en mathématiques, vit avec son arrière-grand-mère Baya, sa grand-mère Fatima, et sa mère Meriem, dans un minuscule appartement d’Alger.