Année 1990 : Emily et Daniel, tous deux étudiants, se rncontrent à Bordeaux.
En 2018, Diégane Latyr Faye, jeune écrivain sénégalais, découvre à Paris un livre mythique, paru en 1938 : Le Labyrinthe de l'inhumain.
"Je cherche le cri" annonce d'emblée la voix. Une voix qui se confie, enfle, s'enroule en spirales. Hypnotique, elle dit "je", parle d'Alger, sa pasion, entre amour et haine.
Sept femmes : Wardia, Baya, Tama, Rasha, Habiba, La Barbare de Figuier alias Nina, Shéhra...
Sept femmes courage dont Souad Labbize nous livre ici un instantané de vie où chacune est engagée dans un acte proprement vital : sauver sa fille, quitter un mari, protéger son fils, défendre un être humilié.
Captivant journal de bord de S., jeune femme sexy et rebelle brûlant sa vie par les deux bouts, ce roman nous immerge dans le milieu très fermé de la jeunesse dorée algéroise.
L'année 1962 est à la fois la fin de la guerre et la dificile transition vers la paix. Concluant la longue colonisation française marquée par une combinaison rare de violence et d'acculturation, elle voit l'émergence d'un État algérien d'abord soucieux d'assurer sa propre stabilité et la survie de sa population.
L'Algérie, après sa politique de la clémence (1995) et sa concorde civile (1999), a mis en oeuvre, à la suite d'un référendum (2005), les mesures de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale; politique ultime, à ce jour, pour solder les comptes d'une décennie meurtrière.
Cet ouvrage est le fruit d'un programme que Nadia Tazi a dirigé au Collège international de philosophie à Paris.
La présence de mouvements islamistes sur la scène internationale a mis au jour une question nodale dans le monde musulman : celle du rôle de la virilité.
Ce livre retrace le parcours d'un Juste : Jules Molina, dit "Julot", militant d'Algérie, habité très tôt par ses conviction, marginalisé par l'Histoire.