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  • Miroir d’un fou

    Fin des années soixante dix. Salem, un Algérien de vingt-sept ans, mène à Paris une existence tumultueuse et vagabonde, comme hallucinée. Miroir d’un fou raconte les errances de ce jeune homme attachant, désespéré, habité pourtant par la rage de vivre.

  • Mémoires d’un combattant

    « On sait aujourd’hui que l’idéologie ne suffit pas à mobiliser un peuple ou des élites. La mobilisation du peuple Algérien ne résultait pas de l’idéologie du PPA-MTLD mais d’autres poussées plus immédiates, plus profondes, rationnelles et irrationnelles, qui ne doivent pas échapper à la recherche proprement historique.

  • La Délégation officielle

    Trois pièces, trois univers où l’auteur, passé maître en l’art de l’absurde, se moque – et par là, dénonce – des idées reçues, des faux démocrates, du racisme, de l’hypocrisie.

  • Les Derniers jours de la vie d’Albert Camus

    Le 3 janvier 1960, Albert Camus quitte Lour-marin pour rejoindre Paris en voiture. Célèbre, riche, en pleine force de l’âge, il est toutefois préoccupé par la guerre d’Algérie, tourmenté aussi par la polémique autour du prix Nobel de littérature qui lui a été attribué en 1957.

  • Une nation en exil

    « Mais alors comment Rachid Koraïchi s’y est-il pris pour créer à partir des poèmes de Darwich ? tout simplement en ne s’y prenant pas », mais en empruntant le chemin de l’amitié, car Mahmoud Darwich, si méfiant pour sa langue, toujours aux aguets, ouvrait grandes ses portes à ceux qu’il considérait comme ses véritables amis, qui loin de vouloir se l’approprier, user et s’installer dans son œuvre, y voyaient la belle possibilité de résonnances, d’échos se répercutant dans ses propres vallées.

  • Mémoire blessée, Algérie 1957

    Arrêté en pleine bataille d’Alger en 1957, Mohamed Sahnoun est torturé pendant plusieurs semaines dans les sous-sols de la tristement célèbre Villa Sésini, par des officiers et des parachutistes dont il a la pudeur et la générosité de ne jamais dire qu’ils étaient Français.

  • Sadek Aïssat, Trois Romans

    Cet ouvrage réunit les trois romans écrits par Sadek Aïssat entre 1996 et 2002 : « L’année des chiens », « La cité du précipice», « Je fais comme fait dans la mer le nageur », les deux premiers n’ayant, jusque là, jamais été publiés en Algérie.

  • Les Sens interdits

    « …Ils ont failli la tuer cet après-midi avait dit Larbi – appuyant par les mots ce que toute sa personne affichait d’une manière saisissante (… son visage aux traits saillants et creusés qui d’habitude sculpté au mieux dans une matière musculaire figée et tenace qui s’appellerait  la révolte et au pire dans une autre rarement visible pourtant tout aussi tenace qui s’appellerait à la fois la rancœur et la douleur, n’exprimait plus ce soir-là que l’abattement et l’angoisse – avant que nous nous enlisions de nouveau dans le silence comme on s’enliserait lesté de plomb dans une fange lourde, pâteuse, sans fond.

  • L’Homme qui n’existait pas

    Dans ce nouveau recueil de nouvelles, Habib Ayyoub renoue avec son univers peuplé de sans-grades, d’obscurs citoyens ordinaires malmenés par la vie et la réalité d’un pays abîmé.

  • Kaveena

    Un cadavre dans un bunker : celui du chef de l’état, N’Zo Nikiema. Un mystère : celui du meurtre de la petite Kaveena, fille unique de la maîtresse du président défunt.

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